Yamim Nishbarim
TZILILI MERCHAKIM NOS'IM ET HALAYLAH
'AL GAV 'ANANYIM EL YOM HAMACHAR
VE'ET ZEKHRONKHA BETEREM HALAKHTA
KISAH HAMA'YIL BACHOREF HAKAR
MENASAH 'OD LISHMOR BEYNEYNU 'AL KESHER
GAM 'IM HASHKARIM HAPKU L'HERGEL
ATAH 'OD TELEKH ELEY HA BESETER
V'ANI ACHREYKHA NITFESET K'MU TZEL
YAMIM NISHBARIM, ROTZAH RAK MARGO'
LO 'OKLA 'OD LIR'OT D'RAKHIM RECHOKOT
YAMIM NISHBARIM, ROTZAH RAK MARGO'
KROVAH ELEYKHA, TOVAH ELEYKHA, KROVAH ELEYKHA LIHYOT
MELCHAMOT AVUDOT HOLKOT V'BA'OT SHUV
V'SHTEYNU NASHIM TZE'IROT V'BOKOT
MECHAKOT BIDMAMAH LAHUV SHEYASHOV 'OD
BEYNI V'BEYNAH - HAMILIM RO'ADOT
YAMIM NISHBARIM, ROTZAH RAK MARGO'
LO 'OKLA 'OD LIR'OT D'RAKHIM RECHOKOT
YAMIM NISHBARIM, ROTZAH RAK MARGO'
KROVAH ELEYKHA, TOVAH ELEYKHA,
KROVAH ELEYKHA LIHYOT
song performed by Ofra Haza
Added by Lucian Velea
Comment! | Vote! | Copy!

Related quotes
Healthy Back Bag
animated bag of chips
amor dive bag
american eagle outfitters bags
ambag poly bags wholesale
american airlines bag limits
american beauty plastic bag theme mp3
amf bowling bag
aluminum tab weave bag
ampac tote bags
american trails atv bag
american tourister bonneville ii garment bag
alt ieri bassoon bag
almond flavored tea bags
ameribag shoulder bags
a mco saddel bags 1977
an enema bag for men
amulet bag book
analyse art falconers bag
amy butler sweet life bag
alto sax bag
alpha kappa alpha diva tote bag
amylou bag in eureka ca
ani hand bags
american west rodeo bags
amex insurance for delayed bags
an interchangeable foundation bag
al verio martini bags
animal bag mp3
american trail ventures atv cargo bags
aluminium coated plastic bags
amy butlet runaway bag pattern
angel bag
animae bop bag
allowed to carry on garment bag
a nimal bag print tote
an imal overnight bag
aloksak bags
amz bag fun src
ameribag microfiber bag
american tourister laptop bag
allied waste service blue bags
american indian medicine bags
alternative to plastic trash bags
amish buggy bag
alpha poly bag
ammo shoulder bag
american sign language tote bags
animated gif people with hand bags
amazing bag grace pipe
altieri bags
[...] Read more
poem by Rwetewrt Erwtwer
Added by Poetry Lover
Comment! | Vote! | Copy!

Kirya
KIRYA YAFEFIAH MASOS LE'ARAYICH
KIRYA YAFEFIAH MASOS LE'ARAYICH
IR NE MANA'AT LE MALKECH VE'SARAYICH
IR NE MANA'AT LE MALKECH VE'SARAYICH
YOM EZ KERA YIFAT RABAT SEVA'AYICH
YOM EZ KERA YIFAT RABAT SEVA'AYICH
LACH KA LE'TA NAFSHI LISHKON HA'SERAYICH
LACH KA LE'TA NAFSHI LISHKON HA'SERAYICH
KIRYA YAFEFIAH
MI'OD YID MALACH MI
MI'OD YID MALACH MI
MI'OD YID MALACH MI
YOM, YOM NOF LIMBANIM
YOM, YOM NOF LIMBANIM
IR NE MANA'AT LE MALKECH VE'SARAYICH
IR NE MANA'AT LE MALKECH VE'SARAYICH
KIRYA YAFEFIAH MASOS LE'ARAYICH
MI'OD YID MALACH MI
MI'OD YID MALACH MI
YOM, YOM NOF LIMBANIM
YOM, YOM NOF LIMBANIM
KIRYA YAFEFIAH
song performed by Ofra Haza
Added by Lucian Velea
Comment! | Vote! | Copy!

L’Invention
O fils du Mincius, je te salue, ô toi
Par qui le dieu des arts fut roi du peuple-roi!
Et vous, à qui jadis, pour créer l'harmonie,
L'Attique et l'onde Égée, et la belle Ionie,
Donnèrent un ciel pur, les plaisirs, la beauté,
Des moeurs simples, des lois, la paix, la liberté,
Un langage sonore aux douceurs souveraines,
Le plus beau qui soit né sur des lèvres humaines!
Nul âge ne verra pâlir vos saints lauriers,
Car vos pas inventeurs ouvrirent les sentiers;
Et du temple des arts que la gloire environne
Vos mains ont élevé la première colonne.
A nous tous aujourd'hui, vos faibles nourrissons,
Votre exemple a dicté d'importantes leçons.
Il nous dit que nos mains, pour vous être fidèles,
Y doivent élever des colonnes nouvelles.
L'esclave imitateur naît et s'évanouit;
La nuit vient, le corps reste, et son ombre s'enfuit.
Ce n'est qu'aux inventeurs que la vie est promise.
Nous voyons les enfants de la fière Tamise,
De toute servitude ennemis indomptés;
Mieux qu'eux, par votre exemple, à vous vaincre excités,
Osons; de votre gloire éclatante et durable
Essayons d'épuiser la source inépuisable.
Mais inventer n'est pas, en un brusque abandon,
Blesser la vérité, le bon sens, la raison;
Ce n'est pas entasser, sans dessein et sans forme,
Des membres ennemis en un colosse énorme;
Ce n'est pas, élevant des poissons dans les airs,
A l'aile des vautours ouvrir le sein des mers;
Ce n'est pas sur le front d'une nymphe brillante
Hérisser d'un lion la crinière sanglante:
Délires insensés! fantômes monstrueux!
Et d'un cerveau malsain rêves tumultueux!
Ces transports déréglés, vagabonde manie,
Sont l'accès de la fièvre et non pas du génie;
D'Ormus et d'Ariman ce sont les noirs combats,
Où, partout confondus, la vie et le trépas,
Les ténèbres, le jour, la forme et la matière,
Luttent sans être unis; mais l'esprit de lumière
Fait naître en ce chaos la concorde et le jour:
D'éléments divisés il reconnaît l'amour,
Les rappelle; et partout, en d'heureux intervalles,
Sépare et met en paix les semences rivales.
Ainsi donc, dans les arts, l'inventeur est celui
Qui peint ce que chacun put sentir comme lui;
Qui, fouillant des objets les plus sombres retraites,
Étale et fait briller leurs richesses secrètes;
Qui, par des noeuds certains, imprévus et nouveaux,
[...] Read more
poem by Andre Marie de Chenier
Added by Poetry Lover
Comment! | Vote! | Copy!


Vendémiaire
Hommes de l'avenir souvenez-vous de moi
Je vivais à l'époque où finissaient les rois
Tour à tour ils mouraient silencieux et tristes
Et trois fois courageux devenaient trismégistes
Que Paris était beau à la fin de septembre
Chaque nuit devenait une vigne où les pampres
Répandaient leur clarté sur la ville et là-haut
Astres mûrs becquetés par les ivres oiseaux
De ma gloire attendaient la vendange de l'aube
Un soir passant le long des quais déserts et sombres
En rentrant à Auteuil j'entendis une voix
Qui chantait gravement se taisant quelquefois
Pour que parvînt aussi sur les bords de la Seine
La plainte d'autres voix limpides et lointaines
Et j'écoutai longtemps tous ces chants et ces cris
Qu'éveillait dans la nuit la chanson de Paris
J'ai soif villes de France et d'Europe et du monde
Venez toutes couler dans ma gorge profonde
Je vis alors que déjà ivre dans la vigne
Paris Vendangeait le raisin le plus doux de la terre
Ces grains miraculeux qui aux treilles chantèrent
Et Rennes répondit avec Quimper et Vannes
Nous voici ô Paris Nos maisons nos habitants
Ces grappes de nos sens qu'enfanta le soleil
Se sacrifient pour te désaltérer trop avide merveille
Nous t'apportons tous les cerveaux les cimetières les murailles
Ces berceaux pleins de cris que tu n'entendras pas
Et d'amont en aval nos pensées ô rivières
Les oreilles des écoles et nos mains rapprochées
Aux doigts allongés nos mains les clochers
Et nous t'apportons aussi cette souple raison
Que le mystère clôt comme une porte la maison
Ce mystère courtois de la galanterie
Ce mystère fatal fatal d'une autre vie
Double raison qui est au-delà de la beauté
Et que la Grèce n'a pas connue ni l'Orient
Double raison de la Bretagne où lame à lame
L'océan châtre peu à peu l'ancien continent
Et les villes du Nord répondirent gaiement
Ô Paris nous voici boissons vivantes
Les viriles cités où dégoisent et chantent
[...] Read more
poem by Guillaume Apollinaire
Added by Poetry Lover
Comment! | Vote! | Copy!

Kol Haklafim
HAKOL BEYNEYNU NIGMAR
HATZA'ER LI LO 'AZAR
HAZMAN NITKA' BESHA'ON
BIR'CHOVOT HAKARIM
ANACHNU K'MU SHNEY ZARIM
MEGALGALIM DIKAON
V'ATAH BODED EY SHAM
MESACHEK LI GEBER 'AKSHAN
SHOMER MERCHAK SHAVO RAK ATAH NIGMAR
KOL HAQLAFIM GLUYIM 'AL HASHULCHAN
RAK LEBAVOT SH'BURIM BUKHIM BAZMAN
MISHEHU DOFEK LI BADELET
MISHEHU HOSHEV SHEHU KAN
BIMIPH'ALIM HAREYKIM
HAPO'ALIM DLUKIM
T'LUSH HAMASHKORET SHACHOR
BAKNYISAH MISAVIV
MOL PRETZUF LO HAVIV
KHULAM 'OMDIM BATOR
RAK ATAH ABUD EY SHAM
ROTZEH LA'OF LIHYOT 'ANAK
'IM HALOM RACHOK SHERAK ATAH BU HAY...
song performed by Ofra Haza
Added by Lucian Velea
Comment! | Vote! | Copy!


A ma fille
O mon enfant, tu vois, je me soumets.
Fais comme moi : vis du monde éloignée ;
Heureuse ? non ; triomphante ? jamais.
-- Résignée ! --
Sois bonne et douce, et lève un front pieux.
Comme le jour dans les cieux met sa flamme,
Toi, mon enfant, dans l'azur de tes yeux
Mets ton âme !
Nul n'est heureux et nul n'est triomphant.
L'heure est pour tous une chose incomplète ;
L'heure est une ombre, et notre vie, enfant,
En est faite.
Oui, de leur sort tous les hommes sont las.
Pour être heureux, à tous, -- destin morose ! --
Tout a manqué. Tout, c'est-à-dire, hélas !
Peu de chose.
Ce peu de chose est ce que, pour sa part,
Dans l'univers chacun cherche et désire:
Un mot, un nom, un peu d'or, un regard,
Un sourire !
La gaîté manque au grand roi sans amours ;
La goutte d'eau manque au désert immense.
L'homme est un puits où le vide toujours
Recommence.
Vois ces penseurs que nous divinisons,
Vois ces héros dont les fronts nous dominent,
Noms dont toujours nos sombres horizons
S'illuminent !
Après avoir, comme fait un flambeau,
Ébloui tout de leurs rayons sans nombre,
Ils sont allés chercher dans le tombeau
Un peu d'ombre.
Le ciel, qui sait nos maux et nos douleurs,
Prend en pitié nos jours vains et sonores.
Chaque matin, il baigne de ses pleurs
Nos aurores.
Dieu nous éclaire, à chacun de nos pas,
Sur ce qu'il est et sur ce que nous sommes ;
Une loi sort des choses d'ici-bas,
Et des hommes !
[...] Read more
poem by Victor Hugo
Added by Poetry Lover
Comment! | Vote! | Copy!

A Le Brun Et Au Marquis De Brazais
Le Brun, qui nous attends aux rives de la Seine,
Quand un destin jaloux loin de toi nous enchaîne;
Toi, Brazais, comme moi sur ces bords appelé,
Sans qui de l'univers je vivrais exilé;
Depuis que de Pandore un regard téméraire
Versa sur les humains un trésor de misère,
Pensez-vous que du ciel l'indulgente pitié
Leur ait fait un présent plus beau que l'amitié?
Ah! si quelque mortel est né pour la connaître.
C'est nous, âmes de feu, dont l'Amour est le maître.
Le cruel trop souvent empoisonne ses coups;
Elle garde à nos coeurs ses baumes les plus doux.
Malheur au jeune enfant seul, sans ami, sans guide,
Qui près de la beauté rougit et s'intimide,
Et, d'un pouvoir nouveau lentement dominé,
Par l'appât du plaisir doucement entraîné,
Crédule, et sur la foi d'un sourire volage,
A cette mer trompeuse et se livre et s'engage!
Combien de fois, tremblant et les larmes aux yeux,
Ses cris accuseront l'inconstance des dieux!
Combien il frémira d'entendre sur sa tête
Gronder les aquilons et la noire tempête,
Et d'écueils en écueils portera ses douleurs
Sans trouver une main pour essuyer ses pleurs!
Mais heureux dont le zèle, au milieu du naufrage,
Viendra le recueillir, le pousser au rivage;
Endormir dans ses flancs le poison ennemi;
Réchauffer dans son sein le sein de son ami,
Et de son fol amour étouffer la semence,
Ou du moins dans son coeur ranimer l'espérance!
Qu'il est beau de savoir, digne d'un tel lien,
Au repos d'un ami sacrifier le sien!
Plaindre de s'immoler l'occasion ravie,
Être heureux de sa joie et vivre de sa vie!
Si le ciel a daigné d'un regard amoureux
Accueillir ma prière et sourire à mes voeux,
Je ne demande point que mes sillons avides
Boivent l'or du Pactole et ses trésors liquides;
Ni que le diamant, sur la pourpre enchaîné,
Pare mon coeur esclave au Louvre prosterné;
Ni même, voeu plus doux! que la main d'Uranie
Embellisse mon front des palmes du génie;
Mais que beaucoup d'amis, accueillis dans mes bras,
Se partagent ma vie et pleurent mon trépas;
Que ces doctes héros, dont la main de la Gloire
A consacré les noms au temple de Mémoire,
Plutôt que leurs talents, inspirent à mon coeur
Les aimables vertus qui firent leur bonheur;
[...] Read more
poem by Andre Marie de Chenier
Added by Poetry Lover
Comment! | Vote! | Copy!


Hymne Des Transportés (Hymn Of The Transported)
Prions ! voici l'ombre sereine.
Vers toi, grand Dieu, nos yeux et nos bras sont levés.
Ceux qui t'offrent ici leurs larmes et leur chaîne
Sont les plus douloureux parmi les éprouvés.
Ils ont le plus d'honneur ayant le plus de peine.
Souffrons ! le crime aura son tour.
Oiseaux qui passez, nos chaumières,
Vents qui passez, nos soeurs, nos mères
Sont là-bas, pleurant nuit et jour. !
Oiseaux, dites-leur nos misères !
Ô vents, portez-leur notre amour !
Nous t'envoyons notre pensée,
Dieu ! nous te demandons d'oublier les proscrits,
Mais de rendre sa gloire à la France abaissée ;
Et laisse-nous mourir, nous brisés et meurtris,
Nous que le jour brûlant livre à la nuit glacée !
Souffrons ! le crime -
Comme un archer frappe une cible,
L'implacable soleil nous perce de ses traits
Après le dur labeur, le sommeil impossible ;
Cette chauve-souris qui sort des noirs marais,
La fièvre, bat nos fronts de son aile invisible.
Souffrons ! le crime -
On a soif, l'eau brûle la bouche
On a faim, du pain noir ; travaillez, malheureux !
A chaque coup de pioche en ce désert farouche
La mort sort de la terre avec son rire affreux,
Prend l'homme dans ses bras, l'étreint et se recouche.
Souffrons ! le crime -
Mais qu'importe ! rien ne nous dompte ;
Nous sommes torturés et nous sommes contents.
Nous remercions Dieu vers qui notre hymne monte
De nous avoir choisis pour souffrir dans ce temps
Où tous ceux qui n'ont pas la souffrance ont la honte.
Souffrons ! le crime -
Vive la grande République !
Paix à l'immensité du soir mystérieux !
Paix aux morts endormis dans la tombe stoïque !
Paix au sombre océan qui mêle sous les cieux
La plainte de Cayenne au sanglot de l'Afrique !
[...] Read more
poem by Victor Hugo
Added by Poetry Lover
Comment! | Vote! | Copy!


Claire
Quoi donc ! la vôtre aussi ! la vôtre suit la mienne !
O mère au coeur profond, mère, vous avez beau
Laisser la porte ouverte afin qu'elle revienne,
Cette pierre là-bas dans l'herbe est un tombeau !
La mienne disparut dans les flots qui se mêlent ;
Alors, ce fut ton tour, Claire, et tu t'envolas.
Est-ce donc que là-haut dans l'ombre elles s'appellent,
Qu'elles s'en vont ainsi l'une après l'autre, hélas ?
Enfant qui rayonnais, qui chassais la tristesse,
Que ta mère jadis berçait de sa chanson,
Qui d'abord la charmas avec ta petitesse
Et plus tard lui remplis de clarté l'horizon,
Voilà donc que tu dors sous cette pierre grise !
Voilà que tu n'es plus, ayant à peine été !
L'astre attire le lys, et te voilà reprise,
O vierge, par l'azur, cette virginité !
Te voilà remontée au firmament sublime,
Échappée aux grands cieux comme la grive aux bois,
Et, flamme, aile, hymne, odeur, replongée à l'abîme
Des rayons, des amours, des parfums et des voix !
Nous ne t'entendrons plus rire en notre nuit noire.
Nous voyons seulement, comme pour nous bénir,
Errer dans notre ciel et dans notre mémoire
Ta figure, nuage, et ton nom, souvenir !
Pressentais-tu déjà ton sombre épithalame ?
Marchant sur notre monde à pas silencieux,
De tous les idéals tu composais ton âme,
Comme si tu faisais un bouquet pour les cieux !
En te voyant si calme et toute lumineuse,
Les coeurs les plus saignants ne haïssaient plus rien.
Tu passais parmi nous comme Ruth la glaneuse ,
Et, comme Ruth l'épi, tu ramassais le bien.
La nature, ô front pur, versait sur toi sa grâce,
L'aurore sa candeur, et les champs leur bonté ;
Et nous retrouvions, nous sur qui la douleur passe,
Toute cette douceur dans toute ta beauté !
Chaste, elle paraissait ne pas être autre chose
Que la forme qui sort des cieux éblouissants ;
Et de tous les rosiers elle semblait la rose,
Et de tous les amours elle semblait l'encens.
[...] Read more
poem by Victor Hugo
Added by Poetry Lover
Comment! | Vote! | Copy!

Lady
'AL GAG BEVENEYN YESHAN LEVAD MITGORERET
'AL GAG B'LI M'ALYIT B'LI SH'KH'NYIM
SHANYIM ET HAMAD REGOT YOM YOM 'OD SUPEROT
SHANYIM B'LI YELADIM B'LI MILIM
BIRCHOVOT HA'IR HYA ROKEDET
MITZERAH EL TOCH TZARAH
V'EL ROSHAM LEMAZKERET
MIG BA'AT G'DOLAH V'SH'CHORAH
HU, LADY, ROKEDET LAH LEVAD KOL HAYOM
HU, LADY, ROKEDET LAH LEVAD KOL HAYOM
HU, LADY, LADY 'IM HALOM
KOL YOM BAGAN HATZIBURI ET HACHEV'REH MESADERET
KOL YOM LO 'ASHAH SHUM CHESHVUNOT
LO YODA'AT SHE'ET HAROSH HYA RAK SHOVERET
KOL YOM BEMISCHAKIM SHEL DIMYONOT
AKH ET MI HYA MECHAPESHET
MI HISHYIR BAH TZALAKOT
MI HISHYIR BAH LEMAZKERET
MIGVA'A ROAH RAK SH'CHOROT
HU, LADY, ROKEDET LAH LEVAD KOL HAYOM
HU, LADY, ROKEDET LAH LEVAD KOL HAYOM
HU, LADY, LADY 'IM HALOM
LADY 'IM HALOM
MAH ECHAD HAYOM
HASIFOR NIGMAR
AT 'ASAH LIMOR
LADY MUZARAH
LAMAH LAMAH RA'A
LADY,LADY, LADY
song performed by Ofra Haza
Added by Lucian Velea
Comment! | Vote! | Copy!


La Fée Et La Péri (The Fay And The Peri)
I
Enfants ! si vous mouriez, gardez bien qu'un esprit
De la route des cieux ne détourne votre âme !
Voici ce qu'autrefois un vieux sage m'apprit : -
Quelques démons, sauvés de l'éternelle flamme,
Rebelles moins pervers que l'Archange proscrit,
Sur la terre, où le feu, l'onde ou l'air les réclame,
Attendent, exilés, le jour de Jésus-Christ.
Il en est qui, bannis des célestes phalanges,
Ont de si douces voix qu'on les prend pour des anges.
Craignez-les : pour mille ans exclus du paradis,
Ils vous entraîneraient, enfants, au purgatoire ! -
Ne me demandez pas d'où me vient cette histoire;
Nos pères l'ont contée; et moi, je la redis.
II
LA PÉRI
Où vas-tu donc, jeune âme?... Écoute !
Mon palais pour toi veut s'ouvrir.
Suis-moi, des cieux quitte la route;
Hélas ! tu t'y perdrais sans doute,
Nouveau-né, qui viens de mourir !
Tu pourras jouer à toute heure
Dans mes beaux jardins aux fruits d'or;
Et de ma riante demeure
Tu verras ta mère qui pleure
Près de ton berceau, tiède encor.
Des Péris je suis la plus belle;
Mes sueurs règnent où naît le jour;
Je brille en leur troupe immortelle,
Comme entre les fleurs brille celle
Que l'on cueille en rêvant d'amour.
Mon front porte un turban de soie;
Mes bras de rubis sont couverts;
Quand mon vol ardent se déploie,
L'aile de pourpre qui tournoie
Roule trois yeux de flamme ouverts.
Plus blanc qu'une lointaine voile,
Mon corps n'en a point la pâleur;
En quelque lieu qu'il se dévoile,
Il l'éclaire comme une étoile,
Il l'embaume comme une fleur.
LA FÉE
Viens, bel enfant ! Je suis la Fée.
[...] Read more
poem by Victor Hugo
Added by Poetry Lover
Comment! | Vote! | Copy!


Chanson des oiseaux
Vie ! ô bonheur ! bois profonds,
Nous vivons.
L'essor sans fin nous réclame ;
Planons sur l'air et les eaux !
Les oiseaux
Sont de la poussière d'âme.
Accourez, planez ! volons
Aux vallons,
A l'antre, à l'ombre, à l'asile !
Perdons-nous dans cette mer
De l'éther
Où la nuée est une île !
Du fond des rocs et des joncs,
Des donjons,
Des monts que le jour embrase,
Volons, et, frémissants, fous,
Plongeons-nous
Dans l'inexprimable extase !
Oiseaux, volez aux clochers,
Aux rochers,
Au précipice, à la cime,
Aux glaciers, aux lacs, aux prés ;
Savourez
La liberté de l'abîme!
Vie ! azur ! rayons ! frissons !
Traversons
La vaste gaîté sereine,
Pendant que sur les vivants,
Dans les vents,
L'ombre des nuages traîne !
Avril ouvre à deux battants
Le printemps ;
L'été le suit, et déploie
Sur la terre un beau tapis
Fait d'épis,
D'herbe, de fleurs, et de joie.
Buvons, mangeons ; becquetons
Les festons
De la ronce et de la vigne ;
Le banquet dans la forêt
Est tout prêt ;
Chaque branche nous fait signe.
Les pivoines sont en feu ;
[...] Read more
poem by Victor Hugo
Added by Poetry Lover
Comment! | Vote! | Copy!

Hermes
FRAGMENT I.--PROLOGUE.
Dans nos vastes cités, par le sort partagés,
Sous deux injustes lois les hommes sont rangés:
Les uns, princes et grands, d'une avide opulence
Étalent sans pudeur la barbare insolence;
Les autres, sans pudeur, vils clients de ces grands,
Vont ramper sous les murs qui cachent leurs tyrans.
Admirer ces palais aux colonnes hautaines
Dont eux-mêmes ont payé les splendeurs inhumaines,
Qu'eux-mêmes ont arrachés aux entrailles des monts,
Et tout trempés encor des sueurs de leurs fronts.
Moi, je me plus toujours, client de la nature,
A voir son opulence et bienfaisante et pure,
Cherchant loin de nos murs les temples, les palais
Où la Divinité me révèle ses traits,
Ces monts, vainqueurs sacrés des fureurs du tonnerre,
Ces chênes, ces sapins, premiers-nés de la terre.
Les pleurs des malheureux n'ont point teint ces lambris.
D'un feu religieux le saint poète épris
Cherche leur pur éther et plane sur leur cime.
Mer bruyante, la voix du poète sublime
Lutte contre les vents; et tes flots agités
Sont moins forts, moins puissants que ses vers indomptés.
A l'aspect du volcan, aux astres élancée,
Luit, vole avec l'Etna, la bouillante pensée.
Heureux qui sait aimer ce trouble auguste et grand!
Seul, il rêve en silence à la voix du torrent
Qui le long des rochers se précipite et tonne;
Son esprit en torrent et s'élance et bouillonne.
Là, je vais dans mon sein méditant à loisir
Des chants à faire entendre aux siècles à venir;
Là, dans la nuit des coeurs qu'osa sonder Homère,
Cet aveugle divin et me guide et m'éclaire.
Souvent mon vol, armé des ailes de Buffon,
Franchit avec Lucrèce, au flambeau de Newton,
La ceinture d'azur sur le globe étendue.
Je vois l'être et la vie et leur source inconnue,
Dans les fleuves d'éther tous les mondes roulants.
Je poursuis la comète aux crins étincelants,
Les astres et leurs poids, leurs formes, leurs distances;
Je voyage avec eux dans leurs cercles immenses.
Comme eux, astre, soudain je m'entoure de feux;
Dans l'éternel concert je me place avec eux:
En moi leurs doubles lois agissent et respirent:
Je sens tendre vers eux mon globe qu'ils attirent;
Sur moi qui les attire ils pèsent à leur tour.
Les éléments divers, leur haine, leur amour,
Les causes, l'infini s'ouvre à mon oeil avide.
[...] Read more
poem by Andre Marie de Chenier
Added by Poetry Lover
Comment! | Vote! | Copy!

Desperation Samba
Desperation samba (halloween in tijuana)
By: jimmy buffett, will jennings, timothy b. schmit
1985
This song brings to mind two things. first, an image of robert mitchum
Standing in the doorway of a bar in tijuana, and second, a line by
Thomas mcguane, my brother-in-law, from his book, panama,
"the night wrote a check the morning couldn't cash."
- used by permission of author
Halloween in tijuana
Full moon in my eyes
I wonder how in the hell i got here
Without a disguise
Should i take this last step
Or turn myself around
Or follow my intuition into that border town
Yo quiero a bailar en mexico [i want to dance in mexico]
We do the desperation samba con nos amigos [...with our friends]
Yo quiero a bailar en mexico
We do the desperation samba con nos amigos
Pretty girls they beckon
From their rooms above
Skeletons are dancing
In the name of love
Don't know where i'm goin'
I don't like where i've been
There may be no exit
But hell i'm going in
Yo quiero a bailar en mexico
We do the desperation samba con nos amigos
Yo quiero a bailar en mexico
We do the desperation samba con nos amigos
I hear the people singing that same old haunting tune
I drink because i know it's me against the moon
Yo quiero a bailar en mexico
We do the desperation samba con nos amigos
Yo quiero a bailar en mexico
We do the desperation samba con nos amigos
-- spoken:
"tss, tss tss"
"hey, psst amigo!"
Ooh ooh ooh ooh
Ooh ooh ooh ooh
Yo quiero a bailar en mexico
We do the desperation samba con nos amigos
Yo quiero a bailar en mexico
We do the desperation samba con nos amigos
- notes:
Background vocals: timothy b. schmit, harry stinson
Featuring reggie young on gut string guitar and
Harrison ford on the bullwhip
song performed by Jimmy Buffett
Added by Lucian Velea
Comment! | Vote! | Copy!


Night Litany
O Dieu, purifiez nos cceurs!
Purifiez nos coeurs !
Yea the lines hast thou laid unto me
in pleasant places,
And the beauty of this thy Venice
hast thou shown unto me
Until is its loveliness become unto me
a thing of tears.
O God, what great kindness
have we done in times past
and forgotten it,
That thou givest this wonder unto us,
O God of waters?
O God of the night,
What great sorrow
Cometh unto us,
That thou thus repayest us
Before the time of its coming?
O God of silence,
Purifiez nos cœurs,
Purifiez nos cœurs,
For we have seen
The glory of the shadow of the
likeness of thine handmaid,
Yea, the glory of the shadow
of thy Beauty hath walked
Upon the shadow of the waters
In this thy Venice.
And before the holiness
Of the shadow of thy handmaid
Have I hidden mine eyes,
O God of waters.
O God of silence,
Purifiez nos cœurs,
Purifiez nos cœurs,
O God of waters,
make clean our hearts within us,
For I have seen the
Shadow of this thy Venice
Floating upon the waters,
And thy stars
Have seen this thing, out of their far courses
Have they seen this thing,
[...] Read more
poem by Ezra Pound
Added by Poetry Lover
Comment! | Vote! | Copy!

Hake'ev Haze
'AD 'AKHSHYAV LO NISH'AR DAVAR
TEN LI SIMAN
HAKE'EV SHEHAYAH NISH'AR
KEN KOL HAZMAN
ATAH MITRACHEK, K'MU GAL NE'ELAM
VE'AL HACHOL HACHAM
RAK HAMAVAT SH'MAKHE'EV KOL KACH
K'SHACHOM GUFCHA BI
OCHEZ BI V'MITRAGESH
LOHET BI V'MITFATEL
HAKE'EV HAZEH
MAKEH BI 'OD
BID MA'OT KOL HAKAYTZ TAM
BA LU HASTYAV
ZIKHRONOT MITZEYRIM 'ANAN
K'MU AZ KEN 'AKHSHYAV
ATAH MITKAREV V'MELATEF ET PANAI
V'NOSHEM OTI, MITLAHET MULI, V'EYNAH
RETUVOT KOL KACH
K'SHACHOM GUFCHA BI
OCHEZ BI V'MITRAGESH
LOHET BI V'MITFATEL
HAKE'EV HAZEH
ATAH EY SHAM BEYN SHEVER BEYN 'ANAN
BEYN DAM V'BEYN 'ASHAN
AVUD KOL KACH
V'LI EYN KOACH EYN KOACH 'OD LIR'OT
OTCHA NOFEL, EYN LI K'CHO 'OD
K'SHACHOM GUFCHA BI
OCHEZ BI V'MITRAGESH
KEN HAKE'EV, HAKE'EV...
song performed by Ofra Haza
Added by Lucian Velea
Comment! | Vote! | Copy!

Shki'a
YOM SHEL 'AMAL SHOKE'A EL SOF HAYAM
RACHOK NASHEK HUA ET HAYAM NIR DAM
AZ MIN HADEREKH SHEV LO SHAV HA'ADAM
'AYEF KOL KACH V'HUA HULEM SHQI'AH
IL SH'KAV BEMETEK SFATAYIM
EL TOCH HA'ARBAYIM
LISHKAV 'AL GAV
LISHKAV LACHLOM ZUG 'EYNAYIM
LISHTOCH EL HALAYL
LISHKAV 'AL GAV
VELO LACHUSH MASA'
MOL DIM DUMIM HABEKHI 'OD NEFATEH
LEVAD LEVAD RACHOK MIN HA'OROT
KOL HATZ LALIM YORDIM ZEH 'AL ZEH
V'SHNEYNU MECHAFSHIM ET HASIVOT
IL SH'KAV BEMETEK SFATAYIM
EL TOCH HA'ARBAYIM
LISHKAV 'AL GAV
LISHKAV LACHLOM ZUG 'EYNAYIM
LISHTOCH EL HALAYL
LISHKAV 'AL GAV
VELO LACHUSH MASA'
song performed by Ofra Haza
Added by Lucian Velea
Comment! | Vote! | Copy!

Nos Premiers Baisers
Toi et moi étions jeunes et forts,
C'était un joli après-midi après l'école;
Le ciel se dressait d'un bleu d'azur, rien n'était drôle,
Et les loriquets fredonnaient sans efforts.
Par hasard, nous nous sommes croisés au carrefour,
Quand les rayons de nos yeux s'attiraient.
Nous nous pressions pour dialoguer; sans avis,
Toi et moi échangions nos premiers mimis,
Les premiers baisers qui ont changé nos vies et notre paix.
Ton cœur était froid et mon corps brûlait dans un four.
Toi et moi étions touchés par les flèches de l'amour,
Qui ont changé nos sourires, nos rires et nos humours.
Nous parlions une langue que nous deux seuls comprenions.
Tout était beau, joli, ravissant, tendre, charmant, mignon,
Etcetera, etcetera. Nos premiers baisers venaient du ciel;
Ils étaient plus doux que les cerises trempées dans le miel.
poem by Hebert Logerie
Added by Poetry Lover
Comment! | Vote! | Copy!


Après l'hiver
Tout revit, ma bien aimée !
Le ciel gris perd sa pâleur ;
Quand la terre est embaumée,
Le coeur de l'homme est meilleur.
En haut, d'où l'amour ruiselle,
En bas, où meurt la douleur,
La même immense étincelle
Allume l'astre et la fleur.
L'hiver fuit, saison d'alarmes,
Noir avril mystérieux
Où l'âpre sève des larmes
Coule, et du coeur monte aux yeux.
O douce désuétude
De souffrir et de pleurer !
Veux-tu, dans la solitude,
Nous mettre à nous adorer ?
La branche au soleil se dore
Et penche, pour l'abriter,
Ses boutons qui vont éclore
Sur l'oiseau qui va chanter.
L'aurore où nous nous aimâmes
Semble renaître à nos yeux ;
Et mai sourit dans nos âmes
Comme il sourit dans les cieux.
On entend rire, on voit luire
Tous les êtres tour à tour,
La nuit les astres bruire,
Et les abeilles le jour.
Et partout nos regards lisent,
Et, dans l'herbe et dans les nids,
De petites voix nous disent :
'Les aimants sont les bénis !'
L'air enivre ; tu reposes
A mon cou tes bras vainqueurs.
Sur les rosiers que de roses !
Que de soupirs dans nos coeurs !
Comme l'aube, tu me charmes ;
Ta bouche et tes yeux chéris
Ont, quand tu pleures, ses larmes,
Et ses perles quand tu ris.
[...] Read more
poem by Victor Hugo
Added by Poetry Lover
Comment! | Vote! | Copy!

Quizs
Hola viejo dime cmo ests,
los aos pasan y no hemos vuelto a hablar
y no quiero que te pienses
que me he olvidado de t.
Yo por mi parte no me puedo quejar,
trabajando como siempre igual,
aunque confieso que en mi vida
hay mucha soledad.
En el fundo t y yo somos casi igual
y me vuelvo loco solo con pensar.
Quizs, la vida nos separe cada da ms,
quizs, la vida nos aleje de la realidad,
quizs, t buscas un desierto y yo busco un mar,
quizs, que gracias a la vida yo te quiero ms.
Hola viejo dime cmo ests,
hay tantas cosas que te quiero explicar,
porque uno nunca sabe si maana est aqu.
A veces hemos hido marcha atrs
y la razn siempre queras llevar,
pero estoy cansado,
no quiero discutir.
En el fundo t y yo somos casi igual
y me vuelvo loco solo con pensar.
Quizs, la vida nos separe cada da ms,
quizs, la vida nos aleje de la realidad,
quizs, t buscas un desierto y yo busco un mar,
quizs, que gracias a la vida yo te quiero ms.
Quizs, la vida nos separe cada da ms,
quizs, la vida nos aleje de la realidad,
quizs, t buscas un desierto y yo busco un mar,
quizs, que gracias a la vida yo te quiero ms.
Hola viejo dime cmo ests,
los aos pasan y no hemos vuelto a hablar
y no quiero que te pienses
que me olvdado de t.
song performed by Enrique Iglesias
Added by Lucian Velea
Comment! | Vote! | Copy!
