There are seven songs finished and on par with any that are on Siren's.
quote by Peter Hook
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La Chronique Ascendante des Ducs de Normandie
Mil chent et soisante anz out de temps et d'espace
puiz que Dex en la Virge descendi par sa grace,
quant un clerc de Caen, qui out non Mestre Vace,
s'entremist de l'estoire de Rou et de s'estrasce,
qui conquist Normendie, qui qu'en poist ne qui place,
contre l'orgueil de France, qui encor les menasce,
que nostre roi Henri la congnoissë et sace.
Qui gaires n'a de rentes ne gaires n'en porcache ;
mez avarice a frait a largesce sa grace,
ne peut lez mainz ouvrir, plus sont gelez que glace, .
ne sai ou est reposte, ne truiz train ne trace;
qui ne soit losengier ne encort liu ne place,
a plusors i fait on la cue lovinace.
Ce ne fu mie el temps Virgile ne Orace
ne el temps Alixandre ne Cesar ne Estace,
lores avoit largesce vertu et efficace.
Du roi Henri voil faire ceste premiere page,
qui prist Alianor, dame de haut parage,
Dex doinst a ambedeuls de bien faire courage!
Ne me font mie rendre a la court le musage,
de dons et de pramesses chascun d' euls m' asouage ;
mez besoing vient souvent qui tost sigle et tost nage,
et souvent me fait meitre le denier et le gage.
France est Alienor et debonnaire et sage ;
roÿne fu de France en son premier aage,
Looÿs l' espousa qui out grant mariage;
en Jerusalem furent en lonc pelerinage,
assez y traist chescun travail et ahanage,
Quant reparriez s' en furent, par conseil du barnage
s' em parti la roÿne o riche parentage;
de cele departie n'out elle nul damage ;
a Poitiers s'en ala, son naturel manage,
n'i out plus prochain heir qu'el fu de son lignage.
Li roiz Henri la prist o riche mariage,
cil qui tint Engleterre et la terre marage
entre Espaingne et Escosce, de rivage en rivage ;
grant parole est de lui et de son vasselage,
des felons qu'il destraint comme oysel clos en cage ;
n' a baron en sa terre o si grant herbergage
qui ost le pais enfraindre em plein ne en boscage,
se il peut estre ataint, n'et des membres hontage,
ou qu'il n'i lest le cors ou l' ame en ostage.
La geste voil de Rou et dez Normanz conter,
lors faiz et lor proësce doi je bien recorder.
Les boisdies de France ne font mie a celer,
tout tens voudrent Franchoiz Normanz desheriter
et tout tens se penerent d' euls vaincre et d'els grever,
et quant Franceiz nes porent par force sormonter
par plusors tricheries lez soulent agraver ;
[...] Read more

The Song Of The Siren
Oh, I am the siren, the siren of the sea,
The sea, the wondrous sea, that lies forevermore before;
I stand a fairy shape upon the shadow of a cliff
Where the water's drowsy ripple laps the phantom of a shore,
And, oh, so fair, so fair am I, I draw all hearts to me,
For I am the siren, the siren of the sea.
All the glory of my golden tresses gleams upon the air,
How it falls about my snowy shoulders, round and bare and white;
My lips are full of love as rounded grapes are full of wine,
And my eyes are large and languid, and full of dewy light;
Oh, I lure the idle landsmen many a league for love of me,
For I am the siren, the siren of the sea.
Sometimes they press so near that my breath is on their cheek,
And their eager hands can almost touch the glowing bowl I bear,
They can see the beaded froth, the ruby glitter of the wine,
Then I slip from their embraces like a breath of summer air;
Oh, I lightly, lightly glide away, they come no nigher me,
For I am the siren, the siren of the sea.
Sometimes I float along a-standing in a boat,
Before the ships becalmed, where dusky sailors stand,
And the helmsman drops his oar, and the lookout leaves his glass,
So I beckon them, and lure them, with the whiteness of my hand;
Oh, this the song I sing, well they listen unto me?
For I am the siren, the siren of the sea.
Would you from toil and labor flee,
Oh float ye out on this wonderful sea,
From islands of spice the zephyrs blow,
Swaying the galleys to and fro;
Silken sails and a balmy breeze
Shall waft you unto a perfect ease.
Fold your hands and rest, and rest,
The sun sails on from the east to the west,
The days will come, and the days will go,
What good can man for his labor show
In passionless peace, come float with me
Over the waves of this wonderful sea.
Would you forget, oh sorrowful soul,
Come and drink of this golden bowl,
With jewelled poppies about the rim,
Drink of the wine that flushes its brim,
And drown all your haunting memories there,
Your woe and your weary care.
Oh, I am the siren, the siren of the sea,
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poem by Marietta Holley
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Le Mendiant
C'était quand le printemps a reverdi les prés.
La fille de Lycus, vierge aux cheveux dorés,
Sous les monts Achéens, non loin de Cérynée,
Errait à l'ombre, aux bords du faible et pur Crathis,
Car les eaux du Crathis, sous des berceaux de frêne,
Entouraient de Lycus le fertile domaine.
Soudain, à l'autre bord,
Du fond d'un bois épais, un noir fantôme sort,
Tout pâle, demi-nu, la barbe hérissée:
Il remuait à peine une lèvre glacée,
Des hommes et des dieux implorait le secours,
Et dans la forêt sombre errait depuis deux jours;
Il se traîne, il n'attend qu'une mort douloureuse;
Il succombe. L'enfant, interdite et peureuse,
A ce hideux aspect sorti du fond des bois,
Veut fuir; mais elle entend sa lamentable voix.
Il tend les bras, il tombe à genoux; il lui crie
Qu'au nom de tous les dieux il la conjure, il prie,
Et qu'il n'est point à craindre, et qu'une ardente faim
L'aiguillonne et le tue, et qu'il expire enfin.
'Si, comme je le crois, belle dès ton enfance,
C'est le dieu de ces eaux qui t'a donné naissance,
Nymphe, souvent les voeux des malheureux humains
Ouvrent des immortels les bienfaisantes mains,
Ou si c'est quelque front porteur d'une couronne
Qui te nomme sa fille et te destine au trône,
Souviens-toi, jeune enfant, que le ciel quelquefois
Venge les opprimés sur la tête des rois.
Belle vierge, sans doute enfant d'une déesse,
Crains de laisser périr l'étranger en détresse:
L'étranger qui supplie est envoyé des dieux.'
Elle reste. A le voir, elle enhardit ses yeux,
. . . . . . . . et d'une voix encore
Tremblante: 'Ami, le ciel écoute qui l'implore.
Mais ce soir, quand la nuit descend sur l'horizon,
Passe le pont mobile, entre dans la maison;
J'aurai soin qu'on te laisse entrer sans méfiance.
Pour la douzième fois célébrant ma naissance,
Mon père doit donner une fête aujourd'hui.
Il m'aime, il n'a que moi: viens t'adresser à lui,
C'est le riche Lycus. Viens ce soir; il est tendre,
Il est humain: il pleure aux pleurs qu'il voit répandre.'
Elle achève ces mots, et, le coeur palpitant,
S'enfuit; car l'étranger sur elle, en l'écoutant,
Fixait de ses yeux creux l'attention avide.
Elle rentre, cherchant dans le palais splendide
L'esclave près de qui toujours ses jeunes ans
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poem by Andre Marie de Chenier
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L’Invention
O fils du Mincius, je te salue, ô toi
Par qui le dieu des arts fut roi du peuple-roi!
Et vous, à qui jadis, pour créer l'harmonie,
L'Attique et l'onde Égée, et la belle Ionie,
Donnèrent un ciel pur, les plaisirs, la beauté,
Des moeurs simples, des lois, la paix, la liberté,
Un langage sonore aux douceurs souveraines,
Le plus beau qui soit né sur des lèvres humaines!
Nul âge ne verra pâlir vos saints lauriers,
Car vos pas inventeurs ouvrirent les sentiers;
Et du temple des arts que la gloire environne
Vos mains ont élevé la première colonne.
A nous tous aujourd'hui, vos faibles nourrissons,
Votre exemple a dicté d'importantes leçons.
Il nous dit que nos mains, pour vous être fidèles,
Y doivent élever des colonnes nouvelles.
L'esclave imitateur naît et s'évanouit;
La nuit vient, le corps reste, et son ombre s'enfuit.
Ce n'est qu'aux inventeurs que la vie est promise.
Nous voyons les enfants de la fière Tamise,
De toute servitude ennemis indomptés;
Mieux qu'eux, par votre exemple, à vous vaincre excités,
Osons; de votre gloire éclatante et durable
Essayons d'épuiser la source inépuisable.
Mais inventer n'est pas, en un brusque abandon,
Blesser la vérité, le bon sens, la raison;
Ce n'est pas entasser, sans dessein et sans forme,
Des membres ennemis en un colosse énorme;
Ce n'est pas, élevant des poissons dans les airs,
A l'aile des vautours ouvrir le sein des mers;
Ce n'est pas sur le front d'une nymphe brillante
Hérisser d'un lion la crinière sanglante:
Délires insensés! fantômes monstrueux!
Et d'un cerveau malsain rêves tumultueux!
Ces transports déréglés, vagabonde manie,
Sont l'accès de la fièvre et non pas du génie;
D'Ormus et d'Ariman ce sont les noirs combats,
Où, partout confondus, la vie et le trépas,
Les ténèbres, le jour, la forme et la matière,
Luttent sans être unis; mais l'esprit de lumière
Fait naître en ce chaos la concorde et le jour:
D'éléments divisés il reconnaît l'amour,
Les rappelle; et partout, en d'heureux intervalles,
Sépare et met en paix les semences rivales.
Ainsi donc, dans les arts, l'inventeur est celui
Qui peint ce que chacun put sentir comme lui;
Qui, fouillant des objets les plus sombres retraites,
Étale et fait briller leurs richesses secrètes;
Qui, par des noeuds certains, imprévus et nouveaux,
[...] Read more
poem by Andre Marie de Chenier
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hindi poem- Astitv
Aaj Aasuon Se Dil Bheeg Gaya,
Par Sharir Par Ek Boond Bhi Na Pad Payi Thi,
Aaj Duniya Ki Bheed Se Kayi Aage Nikal Aayi Mai,
Par Vahi Ki Vahi Khadi Reh Gayi Thi,
Aaj Kamyabi Ko Kadam Chumne Par Majboor Kar Diya,
Par Rishto Ki Raho Se Hi Juda Ho Gayi Thi,
Kayi Sathi Pa Liye Maine,
Par Sath Hi Na Pa Payi Thi,
Royi Thi Main Par Aasu Sukh Gaye The,
Hasi Bhi Thi Shayad Par Aatma Jhuthi Ho Gayi Thi,
Har Labz Par Apna Naam,
Har Jagah Apne Chehre Apni Aawaz Ko Pa Liya,
Par Khud Khokhli Ho Gayi Thi,
Jisne Apne Dum Par Bade Bado Ko Maat Di,
Aaj Khud Ki Nazaro Se Maat Kha Gayi Thi,
Jise Aaj Puri Duniya Dekhne Ko Tarasti Hain,
Jane Vo Khud Kaha Kho Gayi Thi..........
poem by Apurva Jain
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The Piper And The Prey
this is how friday ended
a little bit hard to believe
my perception slightly bending
as the piper came on the scene
it was something so hypnotic
the music even changed
the crowd got up and got chaotic
and they paid so they could play
the pied piper played
the pied piper pushed
songs to make them crave
songs that seemed so good
songs that made it easier
songs down in their blood
songs that take, steal the love
until the song has had enough
at first, the dance was hesitant
not long before everyone knew it
the music spun them 'round and 'round
then it pulled the dancers into it
i danced my dance at my own pace
he laughed, knowing i would change
it took all i had in so many ways
saw others dance until they fell on their face
and still the piper played...
the pied piper played
the pied piper pushed
songs to make them crave
songs that seemed so good
songs that made it easier
songs down in their blood
songs that take, steal the love
until the song has had enough
bodies on the floor
unconscious and awake
the piper gave them more;
they took all that he gave
he played a new illusion
while the world began to sway
the dance became delusion
our hearts became the prey
and i danced as he played
and i danced as he pushed
songs that made me crave
[...] Read more
poem by Thomas Quentin Sims
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Siren
Siren, siren, calling me from the sea,
Spill the sweetness of your words and your voice—
Spill them with such lucid fluidity
That I sink in them without having choice.
Siren, siren, sing me into a lull,
Bewitch me with your charm and your danger—
An insatiable thirst I can't control
For adventures, your lure of grandeur.
Siren, siren, slipping through my fingers
Like a formless liquid, make me submit.
You move with an air that seems to linger,
Perfumed with pleasures that seem infinite.
Siren, siren, entice the sensation
Of love within my imagination.
poem by Tim Stensloff
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The Teachers Are Afraid Of The Pupils
Theres too many people
Planning your downfall
When your spirits on trial
These nights can be frightening
Sleep transports sadness
To some other mid-brain
And somebody here
Will not be here next year
So you stand by the board
Full of fear and intention
And, if you think that theyre listening
Well, youve got to be joking
Oh, you understand change
And you think its essential
But when your profession
Is humiliation
Say the wrong word to our children ...
Well have you, oh yes, well have you
Lay a hand on our children
And its never too late to have you
Mucus on your collar
A nail up through the staff chair
A blade in your soap
And you cry into your pillow
To be finished would be a relief
To be finished would be a relief
To be finished would be a relief
To be finished would be a relief
To be finished would be a relief
To be finished would be a relief
Say the wrong word to our children ...
Well have you, oh yes, well have you
Lay a hand on our children
And its never too late to have you
To be finished would be a relief
To be finished would be a relief
To be finished would be a relief
To be finished would be a relief
To be finished would be a relief
To be finished would be a relief
Im very glad the spring has come
The sun shines out so bright
All the birds that are on the trees
Are singing for delight
song performed by Morrissey
Added by Lucian Velea
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Tumme humme jo hai khas
Na jaane tumme-hum me,
Kya khas hai
Jo batayee nahi banti,
Chipayee nahi chipti.
Bahut rooka raab ko
Par,
Cheep cheep kar
Tumme voh dikhta hi raha.
Bahut tooka khud ko
Par,
Ruk ruk kar,
Tum par voh lootta hi raha.
Kaie baar soocha tumko
Seene se nikal
Jamee par khada kareen
Par,
Jamee ne jagah nahi di
Aur
Seene ne raasta.
Tumhe seene me kaid kar,
Hum jamee par raasta khojte rahe.
Tum kabhi thee?
Tum nahi thee,
Kabhi nahi,
Aaj bhi nahi ho,
Aur kal ki ummeed kya Karen
Shayad kal toh
Hota hi hai nahi…
Par,
Phir bhi tumhari rah par
Palke bicha,
Yeh soochte hai…
Na jaane tumme hum me,
Kya khas hai
Jo batayee nahi banti,
Chipayee nahi chipti.
poem by Anjali Kakati
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Ah! Je Les Reconnais
Ah! je les reconnais, et mon coeur se réveille.
O sons! ô douces voix chères à mon oreille!
O mes Muses, c'est vous; vous mon premier amour,
Vous qui m'avez aimé dès que j'ai vu le jour!
Leurs bras, à mon berceau dérobant mon enfance,
Me portaient sous la grotte où Virgile eut naissance,
Où j'entendais le bois murmurer et frémir,
Où leurs yeux dans les fleurs me regardaient dormir.
Ingrat! ô de l'amour trop coupable folie!
Souvent je les outrage et fuis et les oublie;
Et sitôt que mon coeur est en proie au chagrin,
Je les vois revenir le front doux et serein.
J'étais seul, je mourais. Seul, Lycoris absente
De soupçons inquiets m'agite et me tourmente.
Je vois tous ses appas et je vois mes dangers;
Ah! je la vois livrée à des bras étrangers.
Elles viennent! leurs voix, leur aspect me rassure:
Leur chant mélodieux assoupit ma blessure;
Je me fuis, je m'oublie, et mes esprits distraits
Se plaisent à les suivre et retrouvent la paix.
Par vous, Muses, par vous, franchissant les collines,
Soit que j'aime l'aspect des campagnes sabines,
Soit Catile ou Falerne et leurs riches coteaux,
Ou l'air de Blandusie et l'azur de ses eaux:
Par vous de l'Anio j'admire le rivage,
Par vous de Tivoli le poétique ombrage,
Et de Bacchus, assis sous des antres profonds,
La nymphe et le satyre écoutant les chansons.
Par vous la rêverie errante, vagabonde,
Livre à vos favoris la nature et le monde;
Par vous mon âme, au gré de ses illusions,
Vole et franchit les temps, les mers, les nations,
Va vivre en d'autres corps, s'égare, se promène,
Est tout ce qu'il lui plaît, car tout est son domaine.
Ainsi, bruyante abeille, au retour du matin,
Je vais changer en miel les délices du thym.
Rose, un sein palpitant est ma tombe divine.
Frêle atome d'oiseau, de leur molle étamine
Je vais sous d'autres cieux dépouiller d'autres fleurs.
Le papillon plus grand offre moins de couleurs;
Et l'Orénoque impur, la Floride fertile
Admirent qu'un oiseau si tendre, si débile,
Mêle tant d'or, de pourpre, en ses riches habits,
Et pensent dans les airs voir nager des rubis.
Sur un fleuve souvent l'éclat de mon plumage
Fait à quelque Léda souhaiter mon hommage.
Souvent, fleuve moi-même, en mes humides bras
Je presse mollement des membres délicats,
Mille fraîches beautés que partout j'environne;
[...] Read more
poem by Andre Marie de Chenier
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Awareness poem in Hindi by Deepak kumar deep
Sadiyon se khamosh ye dharti
Pata dhoondh rahi hai insanon ka
Kash! Kahin koi mil jaye
Kya shahar hai ye veerano ka?
Dhadhak rahen hai dil par hoth hain band
Iltaza hai kuch kahne ki
Par! sari nakam koshish
Mai chala gaya tha mudon ke shahar me
The naam wahan gude huwe sunhare patthron par
Wo bebas the, chilla rahe the,
Ro rahe the apni lachari par
Zuban na thepaas unke, kuch kahne ko
Kyonki wo bebas the lachar the……
Jane laga jab wahan se main
Pukar rahi thi wo sari lashen mughe
Chilla chilla kar kar kah rahi thi-
Mat banna aise, jaise the mere karm
Yaad kar un baton ko, aati mughe abs harm
Banna tha jab narm mughe, huwa main narm
Andhvishwashon me ghira tha mera apna dharm….
Jao jakar bata do unko
Meri tarah hi unka hoga haal
Maine ta umernahi ki bhakti, sirf kiya dikhawa
Jo bana aaj ka sawal
Maine apna waqut gawaya, duniyawi such ko pane me
Shareer ko sajane me,
Imarte banana me,
Danga fasad karne karane me
Par zara bhi na diya dhyan
Manav jeevan sawarne me.
Murakhta aur pagalpan ki bhi had hoti hai
Maine samay ke satguru ko nahi pahchana
Sirf libas dekha, shaklon par dhokha khakar
Har yug me maine mara taana.
Main bhi kitna badnaseeb tha
Manjeel mere karib tha
Phir bhi daud raha tha paglon ki tarah
Wo waqut bhi kaisa ajeeb tha.
Khair! Min to apne kiye ki bhugat raha hoon
Par jao jakar kahna un ghamandi, ahankari, papai,
durachari, anachari, Vyabhichari, atyachari logon se
Kyon kar raha hai apne aap se gaddaari.
Kar le apne aapki pahchan
Kaun hai tu? Kya hai tera asthan?
[...] Read more
poem by Deepak Kumar deep
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Les usines
Se regardant avec les yeux cassés de leurs fenêtres
Et se mirant dans l'eau de poix et de salpêtre
D'un canal droit, marquant sa barre à l'infini, .
Face à face, le long des quais d'ombre et de nuit,
Par à travers les faubourgs lourds
Et la misère en pleurs de ces faubourgs,
Ronflent terriblement usine et fabriques.
Rectangles de granit et monuments de briques,
Et longs murs noirs durant des lieues,
Immensément, par les banlieues ;
Et sur les toits, dans le brouillard, aiguillonnées
De fers et de paratonnerres,
Les cheminées.
Se regardant de leurs yeux noirs et symétriques,
Par la banlieue, à l'infmi.
Ronflent le jour, la nuit,
Les usines et les fabriques.
Oh les quartiers rouillés de pluie et leurs grand-rues !
Et les femmes et leurs guenilles apparues,
Et les squares, où s'ouvre, en des caries
De plâtras blanc et de scories,
Une flore pâle et pourrie.
Aux carrefours, porte ouverte, les bars :
Etains, cuivres, miroirs hagards,
Dressoirs d'ébène et flacons fols
D'où luit l'alcool
Et sa lueur vers les trottoirs.
Et des pintes qui tout à coup rayonnent,
Sur le comptoir, en pyramides de couronnes ;
Et des gens soûls, debout,
Dont les larges langues lappent, sans phrases,
Les ales d'or et le whisky, couleur topaze.
Par à travers les faubourgs lourds
Et la misère en pleurs de ces faubourgs,
Et les troubles et mornes voisinages,
Et les haines s'entre-croisant de gens à gens
Et de ménages à ménages,
Et le vol même entre indigents,
Grondent, au fond des cours, toujours,
Les haletants battements sourds
Des usines et des fabriques symétriques.
Ici, sous de grands toits où scintille le verre,
La vapeur se condense en force prisonnière :
Des mâchoires d'acier mordent et fument ;
[...] Read more
poem by Emile Verhaeren
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Pèlerinage
Où vont les vieux paysans noirs
Par les chemins en or des soirs ?
A grands coups d'ailes affolées,
En leurs toujours folles volées,
Les moulins fous fauchent le vent.
Le cormoran des temps d'automne
jette au ciel triste et monotone
Son cri sombre comme la nuit.
C'est l'heure brusque de la terreur,
Où passe, en son charroi d'horreur,
Le vieux Satan des moissons fausses.
Par la campagne en grand deuil d'or,
Où vont les vieux silencieux
Quelqu'un a dû frapper l'été
De mauvaise fécondité :
Le blé haut ne fut que paille,
Les bonnes eaux n'ont point coulé
Par les veines du champ brûlé ;
Quelqu'un a dû frapper les sources
Quelqu'un a dû sécher la vie,
Comme une gorge inassouvie
Vide d'un trait le fond d'un verre.
Par la campagne en grand deuil d'or,
Où vont les vieux et leur misère ?
L'âpre semeur des mauvais germes,
Au temps de mai baignant les fermes,
Les vieux l'ont tous senti passer.
Ils l'ont surpris morne et railleur,
Penché sur la campagne en fleur;
Plein de foudre, comme l'orage.
Les vieux n'ont rien osé se dire.
Mais tous ont entendu son rire
Courir de taillis en taillis.
Or, ils savent par quel moyen
On peut fléchir Satan païen,
Qui reste maître des moissons.
Par la campagne en grand deuil d'or,
[...] Read more
poem by Emile Verhaeren
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Les villes
Oh ! ces villes, par l'or putride envenimées !
Clameurs de pierre et vols et gestes de fumées,
Dômes et tours d'orgueil et colonnes debout
Dans l'espace qui vibre et le travail qui bout,
En aimas-tu l'effroi et les affres profondes
O toi, le voyageur
Qui t'en allais triste et songeur
Par les gares de feu qui ceinturent le monde ?
Cahots et bonds de trains par au-dessus des monts !
L'intime et sourd tocsin qui enfiévrait ton âme
Battait aussi dans ces villes, le soir ; leur flamme
Rouge et myriadaire illuminait ton front,
Leur aboi noir, leur cri vengeur, leur han fécond
Etaient l'aboi, le cri, le han de ton coeur même ;
Ton être entier était tordu en leur blasphème,
Ta volonté jetée en proie à leur torrent
Et vous vous maudissiez tout en vous adorant.
Oh ! leurs élans, leurs chocs, leurs blasphèmes, leurs crimes
Et leurs meurtres plantés dans le torse des lois !
Le coeur de leurs bourdons, le front de leurs beffrois
Ont oublié le nombre exact de leurs victimes ;
Leur monstrueux amas barre le firmament ;
Le siècle et son horreur se condensent en elles,
Mais leur âme contient la minute éternelle
Qui date, au long des jours innombrables, le temps.
D'âge en âge l'histoire est fécondée
Sous l'afflux d'or de leur idées ;
Leur moelle et leur cerveau
Se ravivent du sang nouveau
Qu'infuse au monde vieux l'espoir ou le génie.
Elles illuminent l'audace et communient
Avec l'espace et fascinent les horizons.
Leur magnétisme est fort comme un poison.
Tout front qui domine les autres,
Savant, penseur, poète, apôtre,
Mêle sa flamme à la lueur de leurs brasiers.
Elles dressent vers l'inconnu les escaliers
Par où monte l'orgueil des recherches humaines
Et broient, sous leurs pieds clairs, l'erreur qui tend ses chaînes
De l'univers à l'homme et des hommes à Dieu.
Avez-vous vu, le soir, leurs couronnes de feu,
Temples de verre et d'or assis sur les collines,
D'où se braquent vers les étoiles sybillines
Les monstrueux regards des lentilles d'airain ?
[...] Read more
poem by Emile Verhaeren
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A qui la faute?
Tu viens d'incendier la Bibliothèque ?
- Oui.
J'ai mis le feu là.
- Mais c'est un crime inouï !
Crime commis par toi contre toi-même, infâme !
Mais tu viens de tuer le rayon de ton âme !
C'est ton propre flambeau que tu viens de souffler !
Ce que ta rage impie et folle ose brûler,
C'est ton bien, ton trésor, ta dot, ton héritage
Le livre, hostile au maître, est à ton avantage.
Le livre a toujours pris fait et cause pour toi.
Une bibliothèque est un acte de foi
Des générations ténébreuses encore
Qui rendent dans la nuit témoignage à l'aurore.
Quoi! dans ce vénérable amas des vérités,
Dans ces chefs-d'oeuvre pleins de foudre et de clartés,
Dans ce tombeau des temps devenu répertoire,
Dans les siècles, dans l'homme antique, dans l'histoire,
Dans le passé, leçon qu'épelle l'avenir,
Dans ce qui commença pour ne jamais finir,
Dans les poètes! quoi, dans ce gouffre des bibles,
Dans le divin monceau des Eschyles terribles,
Des Homères, des jobs, debout sur l'horizon,
Dans Molière, Voltaire et Kant, dans la raison,
Tu jettes, misérable, une torche enflammée !
De tout l'esprit humain tu fais de la fumée !
As-tu donc oublié que ton libérateur,
C'est le livre ? Le livre est là sur la hauteur;
Il luit; parce qu'il brille et qu'il les illumine,
Il détruit l'échafaud, la guerre, la famine
Il parle, plus d'esclave et plus de paria.
Ouvre un livre. Platon, Milton, Beccaria.
Lis ces prophètes, Dante, ou Shakespeare, ou Corneille
L'âme immense qu'ils ont en eux, en toi s'éveille ;
Ébloui, tu te sens le même homme qu'eux tous ;
Tu deviens en lisant grave, pensif et doux ;
Tu sens dans ton esprit tous ces grands hommes croître,
Ils t'enseignent ainsi que l'aube éclaire un cloître
À mesure qu'il plonge en ton coeur plus avant,
Leur chaud rayon t'apaise et te fait plus vivant ;
Ton âme interrogée est prête à leur répondre ;
Tu te reconnais bon, puis meilleur; tu sens fondre,
Comme la neige au feu, ton orgueil, tes fureurs,
Le mal, les préjugés, les rois, les empereurs !
Car la science en l'homme arrive la première.
Puis vient la liberté. Toute cette lumière,
C'est à toi comprends donc, et c'est toi qui l'éteins !
Les buts rêvés par toi sont par le livre atteints.
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poem by Victor Hugo
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Aux proscrits
EN PLANTANT LE CHÊNE DES ÉTATS-UNIS D'EUROPE
DANS LE JARDIN DE HAUTEVILLE HOUSE
LE 14 JUILLET 1870
I
Semons ce qui demeure, ô passants que nous sommes !
Le sort est un abîme, et ses flots sont amers,
Au bord du noir destin, frères, semons des hommes,
Et des chênes au bord des mers !
Nous sommes envoyés, bannis, sur ce calvaire,
Pour être vus de loin, d'en bas, par nos vainqueurs,
Et pour faire germer par l'exemple sévère
Des coeurs semblables à nos coeurs.
Et nous avons aussi le devoir, ô nature,
D'allumer des clartés sous ton fauve sourcil,
Et de mettre à ces rocs la grande signature
De l'avenir et de l'exil.
Sachez que nous pouvons faire sortir de terre
Le chêne triomphal que l'univers attend,
Et faire frissonner dans son feuillage austère
L'idée au sourire éclatant.
La matière aime et veut que notre appel l'émeuve ;
Le globe est sous l'esprit, et le grand verbe humain
Enseigne l'être, et l'onde, et la sève, et le fleuve,
Qui lui demandent leur chemin.
L'homme, quand il commande aux flots de le connaître,
Aux mers de l'écouter dans le bruit qu'elles font,
A la terre d'ouvrir son flanc, aux temps de naître,
Est un mage immense et profond.
Ayons foi dans ce germe ! Amis, il nous ressemble.
Il sera grand et fort, puisqu'il est faible et nu.
Nous sommes ses pareils, bannis, nous en qui tremble
Tout un vaste monde inconnu !
Nous fûmes secoués d'un arbre formidable,
Un soir d'hiver, à l'heure où le monde est puni,
Nous fûmes secoués, frères, dans l'insondable,
Dans l'ouragan, dans l'infini.
Chacun de nous contient le chêne République ;
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poem by Victor Hugo
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From A Distance
From a distance, the world looks blue and green,
And the snow capped mountains so white.
From a distance the ocean meets the stream,
And the eagle takes to flight.
From a distance, there is harmony
And it echoes through the land.
Its the voice of hope, its the voice of peace,
Its the voice of every man.
From a distance, we all have enough,
And no-one is in need.
There are no guns, no bombs and no disease
No hungry mouths to feed.
For a moment we must be instruments,
Martching in a common band,
Playing songs of hope, playing songs of peace,
Theyre is the songs of every one.
God is watching us, God is watching us,
God is watching us, from a distance.
From a distance, you look like my friend,
Even though we are at war.
From a distance, I cant comprehend,
What all this war is for.
What we need is love and harmony,
Let it echo through the land.
Its the hope of hopes, its the love of loves,
Its the heart of everyone.
Its the hope of hopes, its the love of loves,
Its the song of everyone.
Sing out, songs of hope,
Sing out, songs of freedom,
Sing out, songs of love,
Sing out, songs of peace,
Sing out, songs of justice,
Sing out, songs of harmony,
Sing out, songs of love,
Sing out, everyone,
Sing out, songs of hope,
Sing out, songs of freedom,
Sing out, songs of love,
Sing out, songs of peace,
Sing out, songs of justice,
Sing out, songs in harmony,
Sing out, sing about love,
Sing out, everyone.
Sing out.
song performed by Cliff Richard
Added by Lucian Velea
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Songs About Me
Songs About Me
Trace Adkins
I met a guy on a Red Eye, he spotted my guitar and said Whada you do?
I said I sing for a livin.Country music mixed with a little rock and a little blues.
He said Im sorry but Ive never been crazy bout that twang and trains and hillbilly things.
Whatever made you want to sing stuff like that?
I just looked at him and laughed and said.
Cause its songs about me
And who I am
Songs about lovin and livin and good hearted women, family and God
Yeah theyre all just songs about me
Songs about me
So I offered him tickets.I said Youll see what I mean if you show up tonight.
He said I doubt youll change my opinion .Ill be kinda busy but hey man, Ill try.
Then later on when we finished our songs about scars and cars and broken hearts,
I saw him, he was standing there right next to the stage and he shouted
Man you were right it was like you sang those
Songs about me and who I am
Songs about lovin and livin and good hearted women, family and God
Yeah theyre all just songs about me
Songs about me, yeah
So Ill just keep on singing til I hear the whole world singing.
Those are songs about me and who I am.
Songs about lovin and livin and good hearted women, family and God.
Yeah theyre all just songs about me.
Songs about me.
song performed by Trace Adkins
Added by Lucian Velea
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Songs About Me
Songs About Me
Trace Adkins
I met a guy on a Red Eye, he spotted my guitar and said Whada you do?
I said I sing for a livin.Country music mixed with a little rock and a little blues.
He said Im sorry but Ive never been crazy bout that twang and trains and hillbilly things.
Whatever made you want to sing stuff like that?
I just looked at him and laughed and said.
Cause its songs about me
And who I am
Songs about lovin and livin and good hearted women, family and God
Yeah theyre all just songs about me
Songs about me
So I offered him tickets.I said Youll see what I mean if you show up tonight.
He said I doubt youll change my opinion .Ill be kinda busy but hey man, Ill try.
Then later on when we finished our songs about scars and cars and broken hearts,
I saw him, he was standing there right next to the stage and he shouted
Man you were right it was like you sang those
Songs about me and who I am
Songs about lovin and livin and good hearted women, family and God
Yeah theyre all just songs about me
Songs about me, yeah
So Ill just keep on singing til I hear the whole world singing.
Those are songs about me and who I am.
Songs about lovin and livin and good hearted women, family and God.
Yeah theyre all just songs about me.
Songs about me.
song performed by Trace Adkins
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A Le Brun Et Au Marquis De Brazais
Le Brun, qui nous attends aux rives de la Seine,
Quand un destin jaloux loin de toi nous enchaîne;
Toi, Brazais, comme moi sur ces bords appelé,
Sans qui de l'univers je vivrais exilé;
Depuis que de Pandore un regard téméraire
Versa sur les humains un trésor de misère,
Pensez-vous que du ciel l'indulgente pitié
Leur ait fait un présent plus beau que l'amitié?
Ah! si quelque mortel est né pour la connaître.
C'est nous, âmes de feu, dont l'Amour est le maître.
Le cruel trop souvent empoisonne ses coups;
Elle garde à nos coeurs ses baumes les plus doux.
Malheur au jeune enfant seul, sans ami, sans guide,
Qui près de la beauté rougit et s'intimide,
Et, d'un pouvoir nouveau lentement dominé,
Par l'appât du plaisir doucement entraîné,
Crédule, et sur la foi d'un sourire volage,
A cette mer trompeuse et se livre et s'engage!
Combien de fois, tremblant et les larmes aux yeux,
Ses cris accuseront l'inconstance des dieux!
Combien il frémira d'entendre sur sa tête
Gronder les aquilons et la noire tempête,
Et d'écueils en écueils portera ses douleurs
Sans trouver une main pour essuyer ses pleurs!
Mais heureux dont le zèle, au milieu du naufrage,
Viendra le recueillir, le pousser au rivage;
Endormir dans ses flancs le poison ennemi;
Réchauffer dans son sein le sein de son ami,
Et de son fol amour étouffer la semence,
Ou du moins dans son coeur ranimer l'espérance!
Qu'il est beau de savoir, digne d'un tel lien,
Au repos d'un ami sacrifier le sien!
Plaindre de s'immoler l'occasion ravie,
Être heureux de sa joie et vivre de sa vie!
Si le ciel a daigné d'un regard amoureux
Accueillir ma prière et sourire à mes voeux,
Je ne demande point que mes sillons avides
Boivent l'or du Pactole et ses trésors liquides;
Ni que le diamant, sur la pourpre enchaîné,
Pare mon coeur esclave au Louvre prosterné;
Ni même, voeu plus doux! que la main d'Uranie
Embellisse mon front des palmes du génie;
Mais que beaucoup d'amis, accueillis dans mes bras,
Se partagent ma vie et pleurent mon trépas;
Que ces doctes héros, dont la main de la Gloire
A consacré les noms au temple de Mémoire,
Plutôt que leurs talents, inspirent à mon coeur
Les aimables vertus qui firent leur bonheur;
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poem by Andre Marie de Chenier
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